Allez, j'ai été mauvaise langue, il a réellement été gentil.
Il me rejoint dans le bar où je suis avec Angie, il est très classe, nous offre des shooters de son invention (Absolut raspberry + sirop de chocolat blanc), reste discret, et vient me murmurer à l'oreille : "J'ai réservé une table pour deux pour 21h, donc je ne vais pas tarder à t'enlever", alors je ris. En sortant du restaurant je suis déjà faite, je réaligne deux shooters au bar. Nous allons récupérer deux nanas pour la soirée, stoppé par les flics il frôle le retrait de permis. Tandis qu'il négocie dans le fourgon, les filles me demandent : "T'es sa copine ou ?" et je réponds "Non, non, une copine, seulement." Arrivés à la boîte, j'enchaîne les vodka-pomme tandis qu'elles dansent sur le bar.
Après les avoir raccompagnées nous allons chercher un grec, la fringale de 5 heures du matin, et nous finissons par boire du champagne millésimé en fumant un pétard, son chat ronronne, je pars en vrille.
Nous dormons trois heures, il a un bas de pyjama CK en soie, la classe. Je squatte sa douche, malgré ma mine de déterrée il dit que je suis jolie, me prend par la main et m'emmène prendre un petit déjeuner à République. Attentionné, il se rappelle que j'aime le jus de pamplemousse et m'en commande un, je bois un cappuccino, et comme il vient du Sud Ouest il a acheté deux chocolatines. Je lui dis que je n'ai pas l'habitude qu'on s'occupe de moi comme ça, il rigole et dit : "Tu sais, on est pas tous des salauds ! Même si on l'est tous un peu.", du coup c'est moi qui me marre.
Il me ramène en voiture, en mettant Noir Désir à fond, me dit : "A très vite.", vérifie que je rentre bien chez moi, et puis s'en va bosser.
J'ai pu passer une soirée sans trop de cynisme, sans mépris, avec de gros fous rires. Ouais, on peut dire que je me suis bien amusée, et le boxon au matin dans l'appart, ses yeux clairs et son tatouage autour du nombril.
Tu vois, je suis pas si forte que ça, je suis très traîtresse et égoïste, et puis un peu cinglée aussi, mais je me sens bien, ce matin j'ai marché au soleil dans Paris avec un type que je ne complexe pas, que je n'aime pas, mais que j'aime bien, j'ai vu la matinée sur Paris et je souriais en silence.
Toi pour fuir tu pars, moi pour fuir je trahis, chacun son truc.
Il me rejoint dans le bar où je suis avec Angie, il est très classe, nous offre des shooters de son invention (Absolut raspberry + sirop de chocolat blanc), reste discret, et vient me murmurer à l'oreille : "J'ai réservé une table pour deux pour 21h, donc je ne vais pas tarder à t'enlever", alors je ris. En sortant du restaurant je suis déjà faite, je réaligne deux shooters au bar. Nous allons récupérer deux nanas pour la soirée, stoppé par les flics il frôle le retrait de permis. Tandis qu'il négocie dans le fourgon, les filles me demandent : "T'es sa copine ou ?" et je réponds "Non, non, une copine, seulement." Arrivés à la boîte, j'enchaîne les vodka-pomme tandis qu'elles dansent sur le bar.
Après les avoir raccompagnées nous allons chercher un grec, la fringale de 5 heures du matin, et nous finissons par boire du champagne millésimé en fumant un pétard, son chat ronronne, je pars en vrille.
Nous dormons trois heures, il a un bas de pyjama CK en soie, la classe. Je squatte sa douche, malgré ma mine de déterrée il dit que je suis jolie, me prend par la main et m'emmène prendre un petit déjeuner à République. Attentionné, il se rappelle que j'aime le jus de pamplemousse et m'en commande un, je bois un cappuccino, et comme il vient du Sud Ouest il a acheté deux chocolatines. Je lui dis que je n'ai pas l'habitude qu'on s'occupe de moi comme ça, il rigole et dit : "Tu sais, on est pas tous des salauds ! Même si on l'est tous un peu.", du coup c'est moi qui me marre.
Il me ramène en voiture, en mettant Noir Désir à fond, me dit : "A très vite.", vérifie que je rentre bien chez moi, et puis s'en va bosser.
J'ai pu passer une soirée sans trop de cynisme, sans mépris, avec de gros fous rires. Ouais, on peut dire que je me suis bien amusée, et le boxon au matin dans l'appart, ses yeux clairs et son tatouage autour du nombril.
Tu vois, je suis pas si forte que ça, je suis très traîtresse et égoïste, et puis un peu cinglée aussi, mais je me sens bien, ce matin j'ai marché au soleil dans Paris avec un type que je ne complexe pas, que je n'aime pas, mais que j'aime bien, j'ai vu la matinée sur Paris et je souriais en silence.
Toi pour fuir tu pars, moi pour fuir je trahis, chacun son truc.