Mardi 29 juillet 2008 à 13:58

Je vais m'en sortir, tu verras. Fais-moi confiance. Je vais l'enfermer au fond de moi.
Ta voix ou tes yeux, c'est quelque chose comme ça. Donc je l'enfermerai au fond de moi. Tellement au fond que je ne la reverrai qu'en descendant. Ce que tu m'empêcheras de faire. Tant mieux.
Quand c'est si in d'être camé, je me tire, tourne le dos à ces trucs là, et je vous fait un joli doigt d'honneur, saloperies de caves.
J'aime absurdement.

Tu vois, je suis contre personne, mais je suis pour la vie et tout ce qui en fait partie, tant que c'est vrai, tant que c'est soi-même qu'on affiche, qu'on choisit, qu'on détruit, tant que les autres n'ont rien à foutre là-dedans. De tout ce qui m'est arrivé dans le fond, les autres sont passés et moi je suis restée et c'est ça qui compte. Alors franchement, ces modes, ces prétentions, ça ne m'intéresse pas, ça ne me dit rien. Même ma propre débauche je ne l'ai jamais clairement affichée.
Restons simples.

Lundi 28 juillet 2008 à 11:31

Et je vais être fidèle à ma phrase : Quand on ne peut plus, il faut faire semblant de pouvoir encore, et je vais me mordre les lèvres, je tremblerai, j'aurais les mains moites, et j'espère sacrément que ça en vaudra la peine, parce que putain, mais qu'est-ce que je prends cher. Ca devrait même pas être permis.
Enfoirés.

Dimanche 27 juillet 2008 à 11:57

Tu me paumes, je sais même plus si c'est du bien que tu fais, tu sais, moi je m'en fous, je peux me jeter dans la bataille ou baisser les bras, ça m'est égal... Je peux toujours rappeler Z' et reprendre ma vie là où je l'ai laissée, je peux toujours rappeler et aller pécho mon gramme, je peux tout arrêter là, je peux devenir autre chose, je peux encore fermer les yeux et laisser sa bouche plonger dans mon décolleté, je peux le laisser humer mon cou à cause de mon parfum, je peux le laisser me prendre par la taille, je peux le laisser m'appeler encore "ma beauté". Je peux tout ça mais j'avais fait un autre choix, je me suis foutue à l'eau corps et âme, je t'ai aidé quand tu en as eu besoin, et je m'en fous, je faisais pas ça pour quelque chose, simplement, on ne me balade pas, c'est tout, question de "respect" comme tu dis si bien, sauf que moi, le respect, je m'en balance sévèrement, il y a juste des choses qui se font et d'autres qui ne se font pas, et malheureusement tu as déjà une dette envers moi, à la moindre erreur je vais te faire cracher tes tripes, c'est ainsi, je te l'ai dit, oeil pour oeil et dent pour dent.
Je peux me battre pour t'avoir, je sais. La question qui compte seulement à présent est : est-ce que tu en vaux la peine ?

Samedi 26 juillet 2008 à 18:48

Tu me paumes, mais violemment, t'as pas idée, c'est un truc de ouf. Souffler le chaud et puis le froid comme ça, mais tu sais pas, tu me rends dingue dingue dingue.
J'ai les cheveux qui poussent à l'intérieur du crâne, encore une fois, j'ai eu le gosier un peu trop en pente. Moins que toi certes puisque j'en ai été réduite à te torgnoler la gueule.
Mais tu sais pas, je fais des trucs que j'aurais pas fait pour d'autres.
Tu devrais pas me laisser faire et me repousser après. Moi ce matin dans tes bras j'étais bien. Comme je l'ai pas trop souvent été.
Article éthylique, encore une fois.
Les potes sont revenus, aucune envie de les voir.

Jeudi 24 juillet 2008 à 17:00

L', sacrée L'.
Quand je suis par terre, on se roule ensemble dans la boue et on s'marre en regardant les étoiles.
Cette photo car L' l'a prise. Une autre soirée alcoolique.

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