Les rencontres, les couloirs de métro, les sept cafés pour tenir malgré les quatre heures de sommeil, le froid, les pauses cigarettes, ses bras, son ex, une future séance photo (?), Jm' qui me dit de passer chez Gucci, Chanel, Montparnasse, les Champs, la banlieue, la nuit, le réveil à six heures, la dèche, la colère, la jalousie, la rédemption (?), la neige, les soirées raclette, les whisky-coca, l'eau de vie maison, "je suis devant chez toi dans 10 min, abandonne Nietzsche qu'on s'en grille une", les embouteillages, les talons aiguilles, les ampoules, Choupet', les partiels, t'as cru c'était le RER à ton père ?!, Eddy et tant d'autres choses.
Je n'abandonne toujours pas, après tout, j'explose puisque c'est mon droit. Les journées perdent leur logique au fil des minutes, le temps se courbe, je voudrais cracher sur des visages que j'ai jadis tendrement caressé, je voudrais déchirer, lacérer, écorcher, je voudrais transcender, je voudrais... m'en aller, parfois.
A part ça, rien.